Chauffage electrique conseils
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fillou2
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11 janvier 2021
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22 janv. 2013 à 17:42
22 janv. 2013 à 17:42
Bonjour
Je suis également avec un chauffage par des radiants programmés.
Si la température baisse de 2°? Il faut pouvoir retrouver au moins 1 h avant de rentrer ou de se lever la température normale, et que ce redémarrage se situe pendant les heures creuses, sinon ça ne vaut pas le coup. Il ne faut pas perdre en confort le tout petit peu que l'on gagne en électricité. Pour ma part je passe sur le thermostat économe vers 22h, et sur le thermostat normal à 5h (je suis en heures creuses jusqu'à 7h), car je me lève à 6h. Dans la journée je reste en chauffage normal, même si je m'absente quelques heures.
A+
Je suis également avec un chauffage par des radiants programmés.
Si la température baisse de 2°? Il faut pouvoir retrouver au moins 1 h avant de rentrer ou de se lever la température normale, et que ce redémarrage se situe pendant les heures creuses, sinon ça ne vaut pas le coup. Il ne faut pas perdre en confort le tout petit peu que l'on gagne en électricité. Pour ma part je passe sur le thermostat économe vers 22h, et sur le thermostat normal à 5h (je suis en heures creuses jusqu'à 7h), car je me lève à 6h. Dans la journée je reste en chauffage normal, même si je m'absente quelques heures.
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jdf_daniel26
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lundi 27 juin 2011
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27 mars 2023
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22 janv. 2013 à 17:50
22 janv. 2013 à 17:50
Bonsoir,
vous allez surconsommer c'est sûr, cependant il faut relativiser aussi, cela dépend de la durée de votre absence , si le nombre de coupure (du thermostat) n'excède
pas un certain seuil vous pouvez tenter l'expérience .
Une hypothèse : Votre absence est de 8 h c'est "presque" rentable pour une habitation dont l'inertie thermique des meubles ou autres objets présents sont capables de maintenir une température moyenne .
Pour simplifier, faites un relevé de vos consommations pour une température extérieure donnée , puis renouvelez l'expérience dans des conditions identiques
en ayant baissé la température .
La durée de l'expérience doit bien-sûr se faire sur plusieurs jours, c'est comparable à si vous leviez le pied de l'accélérateur de votre voiture en descente ou en montée ou bien au plat...
cdlt,
vous allez surconsommer c'est sûr, cependant il faut relativiser aussi, cela dépend de la durée de votre absence , si le nombre de coupure (du thermostat) n'excède
pas un certain seuil vous pouvez tenter l'expérience .
Une hypothèse : Votre absence est de 8 h c'est "presque" rentable pour une habitation dont l'inertie thermique des meubles ou autres objets présents sont capables de maintenir une température moyenne .
Pour simplifier, faites un relevé de vos consommations pour une température extérieure donnée , puis renouvelez l'expérience dans des conditions identiques
en ayant baissé la température .
La durée de l'expérience doit bien-sûr se faire sur plusieurs jours, c'est comparable à si vous leviez le pied de l'accélérateur de votre voiture en descente ou en montée ou bien au plat...
cdlt,
atlassaturn
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Modifié par atlassaturn le 22/01/2013 à 19:01
Modifié par atlassaturn le 22/01/2013 à 19:01
Bonjour
Le problème avec un abaissement momentané de température , c'est le risque de perte de confort . Il faut q'au moment du retour (ou du réveil) la température soit rétablie , ce qui implique d'anticiper , comme le souligne fillou .
L'autre risque éventuel , au niveau confort c'est l'abaissement des températures des murs , en particulier ceux donnant sur l'extérieur . Le confort est en effet lié à la température de l'air ambiant , mais aussi à la température des surfaces qui nous entourent , donc les murs .
On est beaucoup mieux et on a moins une sensation de froid dans une pièce à 20°C avec des parois à 18°C , que dans une pièce à 22°c et des murs à 15°C , ou moins , parce qu'il y a un problème d'isolation ou parce que la pièce vient d'être remise en chauffage et que les murs n'ont pas atteint leur température .
Cette sensation de froid et d'inconfort est liée au fait que le corps échange par rayonnement vers la surface froide .
Donc il est évident qu'il ne faut pas faire de variations trop importantes (sauf pour des absences de longues durées , mais qui nécessitent une anticipation de la remise en chauffage de 24 heures au moins .
Dans le cas d'abaissement de quelques heures dans le courant de la journée , il ne faut pas baisser de plus de 2 ou 3 °C en général (c'est l'écart habituel entre confort et eco sur un radiateur électrique )
En ce qui concerne l'aspect économique , la surconsommation en kwh au moment du redémarrage ne peut pas dépasser la réduction de consommation en période d'arrêt : il ne peut y avoir qu'une économie en termes de kwh . Après il y a le problème du coût du kwh si vous avez un abonnement heures creuses . Rien ne sert d'économiser des kwh HC ; si c'est pour en redépenser une grande partie en heures pleines , ce qui compte tenu de la différence des coûts du kwh reviendra aussi cher (ou même plus cher) , comme cela a été dit .
Donc il y a une optimisation à mener en tâtonnant , compte tenu des horaires , des pertes du logement , de son inertie etc . Mais de toutes façons les écarts resteront faibles , donc il n'y a pas beaucoup de risques si vous vous trompez
Le problème avec un abaissement momentané de température , c'est le risque de perte de confort . Il faut q'au moment du retour (ou du réveil) la température soit rétablie , ce qui implique d'anticiper , comme le souligne fillou .
L'autre risque éventuel , au niveau confort c'est l'abaissement des températures des murs , en particulier ceux donnant sur l'extérieur . Le confort est en effet lié à la température de l'air ambiant , mais aussi à la température des surfaces qui nous entourent , donc les murs .
On est beaucoup mieux et on a moins une sensation de froid dans une pièce à 20°C avec des parois à 18°C , que dans une pièce à 22°c et des murs à 15°C , ou moins , parce qu'il y a un problème d'isolation ou parce que la pièce vient d'être remise en chauffage et que les murs n'ont pas atteint leur température .
Cette sensation de froid et d'inconfort est liée au fait que le corps échange par rayonnement vers la surface froide .
Donc il est évident qu'il ne faut pas faire de variations trop importantes (sauf pour des absences de longues durées , mais qui nécessitent une anticipation de la remise en chauffage de 24 heures au moins .
Dans le cas d'abaissement de quelques heures dans le courant de la journée , il ne faut pas baisser de plus de 2 ou 3 °C en général (c'est l'écart habituel entre confort et eco sur un radiateur électrique )
En ce qui concerne l'aspect économique , la surconsommation en kwh au moment du redémarrage ne peut pas dépasser la réduction de consommation en période d'arrêt : il ne peut y avoir qu'une économie en termes de kwh . Après il y a le problème du coût du kwh si vous avez un abonnement heures creuses . Rien ne sert d'économiser des kwh HC ; si c'est pour en redépenser une grande partie en heures pleines , ce qui compte tenu de la différence des coûts du kwh reviendra aussi cher (ou même plus cher) , comme cela a été dit .
Donc il y a une optimisation à mener en tâtonnant , compte tenu des horaires , des pertes du logement , de son inertie etc . Mais de toutes façons les écarts resteront faibles , donc il n'y a pas beaucoup de risques si vous vous trompez
stf_jpd87
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22 janv. 2013 à 19:08
22 janv. 2013 à 19:08
Bonsoir
Comme il est dit au dessus si vous avez les heures creuses et en plus celles de l'après-midi ne pas hésiter à utiliser au maxi les heures creuses et de réduire le chauffage dans les heures plein tarif; de confort à réduit. soit 3°. Mais pour cela il faut avoir une habitation avec une très bonne isolation.
Comme il est dit au dessus si vous avez les heures creuses et en plus celles de l'après-midi ne pas hésiter à utiliser au maxi les heures creuses et de réduire le chauffage dans les heures plein tarif; de confort à réduit. soit 3°. Mais pour cela il faut avoir une habitation avec une très bonne isolation.
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