Poème voyage
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31 réponses
voyager au printemps sans soucis ,comme à vingt ans
en emportant ,juste le nécessaire, prendre une bouffée d'oxygène
le matériel c'est secondaire,la vie est éphémère
s'assoir sur le sable,admirer la beauté
d'un coucher de soleil se serrer l'un contre l'autre
,profitez des moments magiques
ce bonheur là n'a pas de prix
demain peut être,la maladie risque de nous séparer
sans nous laisser le temps d'en avoir profiter!!
tu es le seul homme à qui je me suis donné
sans te tromper pendant 42 années!!
nous partirons je le souhaite après t'avoir
soulager ,de tes deux anévrismes qui ce sont invités
sans se présenter!nous gagnerons la bataille
sans faille !!!le sac à dos t'attends sous un soleil levant!!
toi tu es un battant !!! mon amour !!
en emportant ,juste le nécessaire, prendre une bouffée d'oxygène
le matériel c'est secondaire,la vie est éphémère
s'assoir sur le sable,admirer la beauté
d'un coucher de soleil se serrer l'un contre l'autre
,profitez des moments magiques
ce bonheur là n'a pas de prix
demain peut être,la maladie risque de nous séparer
sans nous laisser le temps d'en avoir profiter!!
tu es le seul homme à qui je me suis donné
sans te tromper pendant 42 années!!
nous partirons je le souhaite après t'avoir
soulager ,de tes deux anévrismes qui ce sont invités
sans se présenter!nous gagnerons la bataille
sans faille !!!le sac à dos t'attends sous un soleil levant!!
toi tu es un battant !!! mon amour !!
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Sur le thème du voyage, il y a bien sûr le sublime poème de Mallarmé "Brise marine", un de mes poèmes préférés :
La chair est triste, hélas ! et j'ai lu tous les livres.
Fuir ! là-bas fuir! Je sens que des oiseaux sont ivres
D'être parmi l'écume inconnue et les cieux !
Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux
Ne retiendra ce coeur qui dans la mer se trempe
Ô nuits ! ni la clarté déserte de ma lampe
Sur le vide papier que la blancheur défend
Et ni la jeune femme allaitant son enfant.
Je partirai ! Steamer balançant ta mâture,
Lève l'ancre pour une exotique nature !
Un Ennui, désolé par les cruels espoirs,
Croit encore à l'adieu suprême des mouchoirs !
Et, peut-être, les mâts, invitant les orages,
Sont-ils de ceux qu'un vent penche sur les naufrages
Perdus, sans mâts, sans mâts, ni fertiles îlots ...
Mais, ô mon coeur, entends le chant des matelots !
"Souvent pour s'amuser, les hommes d'équipage, prennent des Albatros, vastes oiseaux des mers qui suivent , indolents compagnons de voyage, le Navire glissant sur les gouffres des mers"...........
Baudelaire, Extrait des Fleurs du Mal (L'albatros)
Simple rappel...Le merveilleux poème de Joachim Du Bellay :
Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,
Ou comme cestuy-là qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d’usage et raison,
Vivre entre ses parents le reste de son âge !
Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village
Fumer la cheminée, et en quelle saison
Reverrai-je le clos de ma pauvre maison,
Qui m’est une province, et beaucoup davantage ?
Plus me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux,
Que des palais Romains le front audacieux,
Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine :
Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin,
Plus mon petit Liré, que le mont Palatin,
Et plus que l’air marin la doulceur angevine.
Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,
Ou comme cestuy-là qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d’usage et raison,
Vivre entre ses parents le reste de son âge !
Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village
Fumer la cheminée, et en quelle saison
Reverrai-je le clos de ma pauvre maison,
Qui m’est une province, et beaucoup davantage ?
Plus me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux,
Que des palais Romains le front audacieux,
Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine :
Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin,
Plus mon petit Liré, que le mont Palatin,
Et plus que l’air marin la doulceur angevine.
Et moi si vous le permettez , je dirais "Les paradis blancs " M.Berger .
C'est tout un poème et une invitation à voyager .
Quel plaisir de lire tous vos beaux poèmes.
Mais il est vrai que le PARADIS BLANC dont Jacques fait référence me touche
profondément, il est une finitude en soin quelle merveille!! J'en connais chaque
mot, chaque intonation, bravo Michel tu nous manques tellement.
Par dessus les nuages,
je t'emmène en voyage,
des orages, ne crains rien,
tout ira bien, si tu me tiens la main,
avec toi je partirai visiter les étoiles de tout l'univers,
et gràce à l'amour et à la tendresse, je ne connaitrais plus l'enfer,
je veux t'ouvrir la porte du jardin du bonheur,
là où seront bannies toutes les larmes, toutes les peurs,
voyager avec toi dans la vie,
connaître le gout du bonheur à l'infini,
c'est le voyage dont je rêve le plus dans mon coeur,
car près de toi, je sais que sur mes joues ne couleront plus de pleurs,
voyager sans avoir peur des lendemains,
connaitre la douceur pour effacer tous mes chagrins,
emmène moi dans tes rêves les plus fous,
et je t'aimerai d'un amour au delà de tout,
prends ma main et serres là très fort dans la tienne,
et tout notre amour et notre tendresse seront des pures merveilles.
***********************************************************************************
petit poême de ma composition
sur l'invitation de dom
que je remercie sincèrement
de m'avoir permis d'exprimer
ce que je ressens au plus profond de mon coeur.
pour celui qui partage ma vie.


voyageurs!
astre voyageur, hôte qui nous arrives
Des profondeurs du ciel et qu’on n’attendait pas,
Où vas-tu ? Quel dessein pousse vers nous tes pas ?
Toi qui vogues au large en cette mer sans rives,
Sur ta route, aussi loin que ton regard atteint,
N’as-tu vu comme ici que douleurs et misères ?
Dans ces mondes épars, dis ! avons-nous des frères ?
T’ont-ils chargé pour nous de leur salut lointain ?
Ah ! quand tu reviendras, peut-être de la terre
L’homme aura disparu. Du fond de ce séjour
Si son œil ne doit pas contempler ton retour,
Si ce globe épuisé s’est éteint solitaire,
Dans l’espace infini poursuivant ton chemin,
Du moins jette au passage, astre errant et rapide,
Un regard de pitié sur le théâtre vide
De tant de maux soufferts et du labeur humain.
Louise Ackermann, Poésies Philosophiques
Mi Bonzon, j'aime beaucoup ton poème, le voyage la liberté, je vois les choses ainsi comme toi et je trouve ce que tu dis très fort et très beau, j'adhère à 100 % merci de partager !
merci ma ptite véro !!prépare ton sac à dos ,la ballade à plusieurs !!ce sera un pure bonheur!!!grosses bises!
Oui tu as raison yoyo, mon sac à dos je le préparerai car un jour je partirai crois-moi bisous bisous !
Paysage de rêve
Pour inventer un paysage
Je ferme les yeux
Je pars en voyage
Dans le monde des images
Je vois une forêt
Avec de grands arbres
Aux couleur vives
au tapis de fleurs
parsement la forêt
Dans le ciel de gros nuage
En boule de ouate se promènent
De petits animaux
Se reposent
Sur l’herbe au soleil
Tout est au repos








