Visiblement Patrick Evra est aussi paranoïaque qu'éperdu de reconnaissance.
C'est un garçon bien harcelé par des méchants journalistes.
Mais il oublie son rôle dans la grève Knysna, il se réfère à sa famille, mais il
oublie une aventure médiatisée avec une bimbo anglaise. Pas très gentlemanlr garçon.
Il veut être admiré, aimé, mais quel exemple peut-il montrer ? Si les journalistes contradicteurs sont des clochards que sont pour lui les supporters ?
Trop d'argent tue l'éducation, la politesse. La classe ne s'achète pas, elle se prouve.