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4 réponses
Bonjour rcouanon,
Pour reprendre les défauts d'aspérité de la dalle et selon leur irrégularité, seul un ragréage pourra vous donner une planéité conforme permettant la pose d'un revêtement de sol type moquette.
Quelques points pour mettre toutes les chances de son côté pour réussir la pose d'un ragréage :
- Le support doit être dur, stable, résistant et cohésif ; Il faut éliminer toute partie non adhérente.
- Il doit être normalement absorbant : il faut faire le test de la goutte d'eau. Si l'eau est absorbée dans un délai de une à cinq minutes. En deçà et au-delà, l'application d'un primaire adapté sera nécessaire. L'enduit de ragréage mis en oeuvre pourra nécessiter à lui seul l'emploi de primaire.
- Le support devra être propre et sec pour appliquer le ragréage : exempt de traces de colle, plâtre ciment, etc..., et dépoussiéré (avec aspiration, balayage insuffisant).
La mise en oeuvre préalable d'un film polyane pourra être une parade contre les remontées d'humidité à travers la chape désolidarisée.
Concernant l'isolation thermique, n'espérez pas de résultat probant avec de faibles épaisseurs. Le « juge de paix » dans ce domaine est la résistance thermique R qui se mesure en m².K/W. Pour vous donner un ordre d'idée, les préconisations actuelles pour isoler un sol dans une construction « Neuve » sont de placer un matériau isolant ayant un R de l'ordre de 4 m².K/W. Sans viser un tel niveau de performance, il faut savoir que le résultat sera proportionnel au matériau placé et à sa résistance thermique intrinsèque.
De plus, tout matériau isolant interposé lors de la pose dite « de chape flottante » doit être protégé de toute éventuelle remontée d'humidité par la pose d'un film d'interposition.
Pour reprendre les défauts d'aspérité de la dalle et selon leur irrégularité, seul un ragréage pourra vous donner une planéité conforme permettant la pose d'un revêtement de sol type moquette.
Quelques points pour mettre toutes les chances de son côté pour réussir la pose d'un ragréage :
- Le support doit être dur, stable, résistant et cohésif ; Il faut éliminer toute partie non adhérente.
- Il doit être normalement absorbant : il faut faire le test de la goutte d'eau. Si l'eau est absorbée dans un délai de une à cinq minutes. En deçà et au-delà, l'application d'un primaire adapté sera nécessaire. L'enduit de ragréage mis en oeuvre pourra nécessiter à lui seul l'emploi de primaire.
- Le support devra être propre et sec pour appliquer le ragréage : exempt de traces de colle, plâtre ciment, etc..., et dépoussiéré (avec aspiration, balayage insuffisant).
La mise en oeuvre préalable d'un film polyane pourra être une parade contre les remontées d'humidité à travers la chape désolidarisée.
Concernant l'isolation thermique, n'espérez pas de résultat probant avec de faibles épaisseurs. Le « juge de paix » dans ce domaine est la résistance thermique R qui se mesure en m².K/W. Pour vous donner un ordre d'idée, les préconisations actuelles pour isoler un sol dans une construction « Neuve » sont de placer un matériau isolant ayant un R de l'ordre de 4 m².K/W. Sans viser un tel niveau de performance, il faut savoir que le résultat sera proportionnel au matériau placé et à sa résistance thermique intrinsèque.
De plus, tout matériau isolant interposé lors de la pose dite « de chape flottante » doit être protégé de toute éventuelle remontée d'humidité par la pose d'un film d'interposition.
